Les différentes dépenses qui accompagnent une vente immobilière à Plouër-sur-Rance

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Les différentes dépenses qui accompagnent une vente immobilière à Plouër-sur-Rance

Un projet de vente immobilière vous oblige à effectuer quelques dépenses. Celles-ci sont essentielles pour la bonne tenue de la transaction. Découvrez de quoi il s’agit. 

Le coût des diagnostics immobiliers

Les diagnostics immobiliers doivent être réalisés par un spécialiste. Ses honoraires sont obligatoirement à votre charge en tant que propriétaire-vendeur. Leur coût dépend du prestataire, mais également du nombre et de la nature des examens à entreprendre. Ces deux derniers critères sont fonction du type de bien et de son ancienneté. D’une manière générale, plus la propriété est âgée, plus la liste de diagnostics sera longue. 

Les honoraires de l’agence immobilière

L’agence mandatée dans votre projet de vente immobilière à Plouër-sur-Rance se verra octroyer des rémunérations. Elles représentent entre 3 et 10 % du prix de la vente. Vous pouvez décider de les payer de votre poche pour faire baisser la plus-value imposée. Vous pouvez aussi les attribuer dans leur totalité ou pour moitié à votre acquéreur. L’annonce immobilière doit indiquer le mode de paiement que vous avez choisi.  

Les dépenses liées aux travaux

Pour remédier aux petites imperfections de la propriété, des travaux de rafraîchissement peuvent être indispensables. Peu onéreux, ils ne nécessitent le plus souvent pas l’intervention de spécialistes. Lorsque le bien est trop délabré, les chantiers sont plus lourds tant en ce qui concerne leur coût que leur réalisation. Il est conseillé de demander l’avis d’un professionnel concernant les rénovations à prioriser. 

L’impôt sur la plus-value

Cette taxation court quand la propriété en vente est une résidence secondaire et que la transaction a permis un profit sur son prix d'acquisition. À raison de 19 % du montant de ce bénéfice, l’impôt sur la plus-value peut subir un abattement selon le nombre d’années de détention du bien avant sa commercialisation. Au bout de 30 ans, la taxe n’a plus lieu d’être.